Ce sont peut-être les dernières courgettes de la saison que j’ai cueillies ce week-end dans MON jardin. Attention pas de la courgette calibrée et fade, de la courgette estampillée JJ & DD, une variété « Dalton » (pas une n’a la même taille), élevée à la sueur de son jardinier, sans OGM ni engrais chimique ou pesticide, de celles qui font le bonheur du palais et de celui de mes amis et voisins .
Il y a un an je prenais possession de ce jardin … ou plutôt d’une friche car il y a bien longtemps que personne ne l’avait entretenu. Point de désherbant du type Roundup mais un bêchage en règle, minutieux, long et fastidieux car j’avais décidé de trier le bon grain de l’ivraie, la terre noble du chiendent.
Bien sûr mes premières expériences au potager n’ont pas toutes été couronnées de succès, cette année point d’aubergines, un seul pied de tomate, … une école d’humilité la terre, … j’apprends, mais Alain (le philosophe pas mon copain qui habite à Londres) ne disait-il pas qu’«il faut donner avant de recevoir» ?
Mais je ne vous ai pas encore parlé de ma plus grosse fierté dans ce jardin : mon tas de compost ! Après avoir lu religieusement, comme un athée que je suis, le guide du compost de l’Ademe, j’en ai suivi les préceptes à la lettre, une couche de ceci, une couche de cela, …mais il faut que je vous quitte, il faut que j’aille justement y déverser mes déchets du jour : marc de café, épluchures de pomme de terre, coquilles d’œuf s et restes de pain. J’en profiterai pour le retourner et l’aérer et je contemplerai alors la vie intense de transformation qui y règne (asticots et vers en tous genres, bon appétit). Et dans quelques semaines je compte bien nourrir la terre de mon potager de cet intrant naturel pour que mes courgettes soient encore plus belles la saison prochaine.
Il y a un an je prenais possession de ce jardin … ou plutôt d’une friche car il y a bien longtemps que personne ne l’avait entretenu. Point de désherbant du type Roundup mais un bêchage en règle, minutieux, long et fastidieux car j’avais décidé de trier le bon grain de l’ivraie, la terre noble du chiendent.
Bien sûr mes premières expériences au potager n’ont pas toutes été couronnées de succès, cette année point d’aubergines, un seul pied de tomate, … une école d’humilité la terre, … j’apprends, mais Alain (le philosophe pas mon copain qui habite à Londres) ne disait-il pas qu’«il faut donner avant de recevoir» ?
Mais je ne vous ai pas encore parlé de ma plus grosse fierté dans ce jardin : mon tas de compost ! Après avoir lu religieusement, comme un athée que je suis, le guide du compost de l’Ademe, j’en ai suivi les préceptes à la lettre, une couche de ceci, une couche de cela, …mais il faut que je vous quitte, il faut que j’aille justement y déverser mes déchets du jour : marc de café, épluchures de pomme de terre, coquilles d’œuf s et restes de pain. J’en profiterai pour le retourner et l’aérer et je contemplerai alors la vie intense de transformation qui y règne (asticots et vers en tous genres, bon appétit). Et dans quelques semaines je compte bien nourrir la terre de mon potager de cet intrant naturel pour que mes courgettes soient encore plus belles la saison prochaine.
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