"Gérer un
poulailler à la campagne comme en ville" , c'est le titre de l'article
que j'ai écrit pour Rustica Editions dans le nouveau numéro du mook
(magazine-book) Permagaïa qui a cette fois pour thème "L'autonomie".
Développement Durable et Communication
JJ FASQUEL, consultant en développement durable et en communication responsable.
26 mai 2020
12 octobre 2019
Auto-portrait
Cet auto-portrait a été écrit dans le cadre d'un atelier d'écriture organisée par la Baleine Verte sous la houlette de Chloé Delaporte. Le cahier des charges : en 20 minutes écrire un auto-portrait à la manière d'Edouard Levé
« Non », c’est le titre
de la pièce de théâtre dans laquelle
j’ai joué à l’âge de trois ans. Je dis trop souvent « oui mais ». La
curiosité n’est pas un vilain défaut et je ne crois pas qu’elle a tué le chat.
J’adore avoir les mains sales, de terre, pas de Sartre. C’est peut-être parce
qu’humus et humanité ont les mêmes racines. Au concert de Téléphone, j’ai crié
Corinne. Je suis gauche et de gauche. Parfois, mes mots blessent et Dieu n’y
est pour rien. Ni Dieu, ni maître. J’ai toujours désobéi : j’ai reçu des
fessées, j’ai été collé, j’ai été viré et même arrêté. Il est interdit
d’interdire. J’ai donné de la confiture à manger à un enfant en photo sur la
couverture d’un livre. Mon arrière grand-père conduisait des trains à vapeur,
bientôt je serai dans le Transsibérien. Je choisis toujours la mauvaise file
d’attente au supermarché, de façon plus générale j’ai du mal à choisir. Choisir
c’est renoncer.
18 septembre 2019
Le documentaire Grande-Synthe
Mon dernier article pour midi:onze, le magazine de la ville durable : une chronique du documentaire Grande-Synthe http://www.midionze.com/2019/09/18/le-documentaire-grande-synthe-sort-en-dvd/
02 septembre 2019
Un article pour le mook Permagaïa #4
Découvrez mon nouvel article sur la consommation responsable dans le dernier numéro du mook PermaGaïa #4 publié par Rustica
01 septembre 2019
Portraits d'Entrepreneurs d'Avenir
J'interviewe et j'écris ces dernières semaines de nombreux portraits d'Entrepreneurs d'Avenir
Quelques portraits à lire ci-dessous
http://www.entrepreneursdavenir.com/communaute/dan.antoine.blanc.shapira/
http://www.entrepreneursdavenir.com/communaute/chrystine.risler/
http://www.entrepreneursdavenir.com/communaute/guy.aubert/
http://www.entrepreneursdavenir.com/communaute/bernard.goret/
http://www.entrepreneursdavenir.com/communaute/roman.regis/
12 novembre 2018
107 résidents du 107
Je suis trés fier d'avoir initié et coordonné ce projet photo dans ma résidence.
107 locataires ont ainsi été photographiés le 23 juin 2018 et sont représentés sur un visuel "patchwork" (ci-dessus) qui va être affiché à différents endroits de la résidence (baies vitrées, clôture de travaux). 19 personnes ont de plus été sélectionnées pour être également affichées seules en grand format (90*120).
Un site internet https://107residentsdu107.blogspot.com/ a également été créé : une nouvelle photo d’un des 107 modèles sera publiée chaque semaine le dimanche pendant les deux ans des travaux. Toutes les 5 semaines on retrouvera également en complément de la photo de la semaine un portait écrit (parmi les 19 personnes qui sont affichées en grand format sur les murs de la résidence).
Un site internet https://107residentsdu107.blogspot.com/ a également été créé : une nouvelle photo d’un des 107 modèles sera publiée chaque semaine le dimanche pendant les deux ans des travaux. Toutes les 5 semaines on retrouvera également en complément de la photo de la semaine un portait écrit (parmi les 19 personnes qui sont affichées en grand format sur les murs de la résidence).
C'est un hommage à la biodiversité
des hommes et des femmes qui font le sel de la vie en communauté. Une
ode à la mixité sociale qui donne du sens, de la saveur et de la
richesse à notre quotidien. L’exposition de ces photos-portraits égaillera la période des travaux …
17 octobre 2018
I am an Anarchitect !
Une exposition sur les travaux de l’anarchitecte Gordon Matta-Clarck vient de se clôturer à la galerie du Jeu de Paume à Paris, l’occasion de se replonger dans son œuvre et ses partis-pris.
Comme un pied de nez aux bâtisseurs célèbres, Gordon Matta-Clarck, architecte de formation, s’est fait connaître dans les années 70 en démantelant et en découpant, tels des sculptures, des bâtiments abandonnés. Une ultime résistance face au modernisme ?
New-Yorkais, c’est dans le Bronx qu’il commence ses fameuses découpes anarchitecturales dans des immeubles abandonnés, les « Bronx Floors (Planchers du Bronx)», en en sciant les planchers sur plusieurs étages. C’est le trou géométrique qui devient l’oeuvre d’art.
Il est également connu pour avoir, illégalement, découpé la façade d’un entrepôt désaffecté du bord de l’Hudson pour en faire une œuvre monumentale, un temple de lumière et d’eau intitulé « Day’s End (Fin du jour) ».
Mais Paris a également accueilli ses œuvres. L’une des plus connues, Conical Intersect, créée à l’occasion de 9ème Biennale de Paris, consiste en la création/destruction d’un cône de lumière qui transperce différentes pièces de deux immeubles jumeaux du XVIIème voués à la destruction pour laisser place au centre Georges Pompidou dans le nouveau quartier de Beaubourg. Dans la capitale, tel un archéologue urbain il a aussi fait un travail sur les « Sous-sols de Paris » en réalisant des montages photographiques des coupes de bâtiments, du toit aux caves, comme celui de l’Opéra Garnier ou des catacombes.
Celui qui avait fondé le groupe Anarchitecture pour réévaluer l’architecture classique, a par ses œuvres et ses réflexions ouvert la voie et inspiré l’esthétisme déconstructiviste.
Comme un pied de nez aux bâtisseurs célèbres, Gordon Matta-Clarck, architecte de formation, s’est fait connaître dans les années 70 en démantelant et en découpant, tels des sculptures, des bâtiments abandonnés. Une ultime résistance face au modernisme ?
New-Yorkais, c’est dans le Bronx qu’il commence ses fameuses découpes anarchitecturales dans des immeubles abandonnés, les « Bronx Floors (Planchers du Bronx)», en en sciant les planchers sur plusieurs étages. C’est le trou géométrique qui devient l’oeuvre d’art.
Il est également connu pour avoir, illégalement, découpé la façade d’un entrepôt désaffecté du bord de l’Hudson pour en faire une œuvre monumentale, un temple de lumière et d’eau intitulé « Day’s End (Fin du jour) ».
Mais Paris a également accueilli ses œuvres. L’une des plus connues, Conical Intersect, créée à l’occasion de 9ème Biennale de Paris, consiste en la création/destruction d’un cône de lumière qui transperce différentes pièces de deux immeubles jumeaux du XVIIème voués à la destruction pour laisser place au centre Georges Pompidou dans le nouveau quartier de Beaubourg. Dans la capitale, tel un archéologue urbain il a aussi fait un travail sur les « Sous-sols de Paris » en réalisant des montages photographiques des coupes de bâtiments, du toit aux caves, comme celui de l’Opéra Garnier ou des catacombes.
Celui qui avait fondé le groupe Anarchitecture pour réévaluer l’architecture classique, a par ses œuvres et ses réflexions ouvert la voie et inspiré l’esthétisme déconstructiviste.
10 juillet 2018
Carnets de WWOOFing
En avant-première, la couverture de mon prochain livre "Carnets de WWOOFing"
Partager le quotidien des fermes bio
Maraîchage, viticulture, boulange, construction en paille, apiculture… le WWOOFing donne du sens à son temps libre et permet de découvrir l’agriculture biologique en rencontrant les paysans qui la pratiquent. Ce petit guide donne des conseils très pratiques pour choisir et préparer sereinement un séjour en WWOOFing. Des récits d’expériences permettent une description vue de l’intérieur du monde paysan et des coulisses d’une production locale de qualité.
Jean-Jacques Fasquel est maître-composteur, rédacteur écologiste, apiculteur amateur et formé à la permaculture. Il pratique le WWOOFing depuis plusieurs années.
Disponible le 20 novembre 2018 – 80 pages – 10 € – coll. Champs d’action – éd. Terre vivanteEn librairies, magasins bio, jardineries et sur boutique.terrevivante.org
Partager le quotidien des fermes bio
Maraîchage, viticulture, boulange, construction en paille, apiculture… le WWOOFing donne du sens à son temps libre et permet de découvrir l’agriculture biologique en rencontrant les paysans qui la pratiquent. Ce petit guide donne des conseils très pratiques pour choisir et préparer sereinement un séjour en WWOOFing. Des récits d’expériences permettent une description vue de l’intérieur du monde paysan et des coulisses d’une production locale de qualité.
Jean-Jacques Fasquel est maître-composteur, rédacteur écologiste, apiculteur amateur et formé à la permaculture. Il pratique le WWOOFing depuis plusieurs années.
Disponible le 20 novembre 2018 – 80 pages – 10 € – coll. Champs d’action – éd. Terre vivanteEn librairies, magasins bio, jardineries et sur boutique.terrevivante.org
09 juillet 2018
07 février 2018
08 juin 2017
Une livraison de paniers de légumes sur la Seine
Mon nouvel article dans le magazine en ligne Midi:Onze sur le Marché sur
l'eau et son transport complétement barge A lire ici .
11 mai 2017
C. Najdoski, en guerre contre la pollution !
J'ai interviewé pour le magazine Midi:Onze. Christophe Najdovski, élu aux transports de la Ville de Paris. A lire ici.
17 mars 2017
Marre de voter pour vous
Mes amis,
Je n'en peux plus de voir ma messagerie et mes murs numériques envahis de vos messages me demandant de voter pour votre projet dans le cadre de tel ou tel concours. Mais pourquoi tant de haine vous dites-vous ?
Tout d'abord les organismes qui les mettent en oeuvre se font une pub à peu de frais ou se rachète une bonne conscience et je ne veux pas rentrer dans ce jeu d'autant que les marques en question sont, de plus, souvent loin de l'éthique des beaux projets que vous portez. Ensuite les projets lauréats ne sont souvent pas les meilleurs mais ceux dont les porteurs sont des experts des réseaux sociaux ou ceux qui ont déjà un large carnet d'adresses ou une certaine notoriété et je trouve donc ce type de sélection injuste. Enfin cet esprit de compétition est loin de la coopération que nombre d'entre vous appellent par ailleurs de leurs voeux.
La fin ne justifie pas tous les moyens même si je connais les difficultés financières des associations ou des porteurs de projets privés. Ceci ne remet nullement en cause la qualité de vos initiatives mais je ne veux plus être complice de ce système que je ne trouve pas sain même si j'ai pu y succomber dans le passé.
La fin ne justifie pas tous les moyens même si je connais les difficultés financières des associations ou des porteurs de projets privés. Ceci ne remet nullement en cause la qualité de vos initiatives mais je ne veux plus être complice de ce système que je ne trouve pas sain même si j'ai pu y succomber dans le passé.
nb : ma réflexion ne concerne pas les crowfundings ou les pétitions citoyennes.
16 mars 2017
Quoi de neuf dans la mobilité des salariés et des marchandises ?
Suite de mes articles dans Midi:Onze. Une synthése des solutions proposées à deux tables rondes du Salon Produrable pour pour la mobilité des
salariés et des marchandises. A lire ici.
02 mars 2017
Haussmann, un baron de la construction écolo ?
27 février 2017
Finis les grumeaux qui collent, vive LAVille multicellulaire !
Suite de ma collaboration avec le magazine midi:onze avec un article sur LAVille concept de développement urbain résilient & écolo. A lire ici.
31 janvier 2017
Le nouveau scénario négaWatt est sorti !
J'entame une collaboration avec midi:onze, magazine dédié à la ville durable. Voici l'un de mes premiers "papiers" à l'occasion de la sortie du nouveau scénario négaWatt. A lire ici.
02 janvier 2016
30 novembre 2015
04 novembre 2015
On commence quand ?
Un soir de décembre je reçois un appel d’Alice une amie « écolo » qui me raconte qu’elle a écrit un documentaire intitulé provisoirement « le coach climat » dans lequel le dit coach accompagnerait deux ou trois familles dans la réduction de leur impact sur le climat et qu’avec Amélie, la productrice, … elles ont pensé à moi ;)
Etant donné que j’aime faire de la pédagogie sur ces sujets et que je suis curieux de tout nouveau projet je donne un oui de principe et c’est comme cela que je me retrouve embarqué dans cette aventure de plusieurs mois.

Je rencontre donc en « direct live » pour la première fois Patrice et Marie qui ont tous les deux un nouveau projet professionnel en gestation. Marie rêve de faire de sa marotte son métier, la rénovation/réparation de meubles récupérés dans la rue et Patrice va quitter prochainement Orange pour lancer avec des amis une application mobile de co-voiturage instantané sur courtes distances. Nous tournons différentes scènes de coaching d’éco-gestes dans la maison y compris avec leurs deux filles et très vite une complicité se noue avec la famille dans cette relation relativement intime de tournage et de partage. Je rentre le soir lessivé : la concentration demandée à chaque prise prend beaucoup d’énergie au novice que je suis. Mais l’équipe semble satisfaite de mes débuts, ce qui me rassure un peu.
C’est ainsi que pendant 6 mois je vais régulièrement me rendre au domicile des trois familles : à Bois Colombes en banlieue parisienne chez Patrice et Marie, à Grand Quevilly dans la banlieue de Rouen chez Stéphanie et à Pont-Péan dans la banlieue de Rennes chez Teddy et Maximilien. Teddy et Maximilien sont tombés en adoration de la papesse du Zéro Déchet, Béa Jonhson, et veulent suivre ses traces quand Stéphanie sensibilise déjà les enfants de sa commune au bio et au bien manger et travaille sur différents projet du « champs à l’assiette ».

Mais j’ai également vécu une belle histoire avec la « team » du tournage (Emmanuel, Katia, Mathieu, Arnaud et Ludovic). J’ai adoré me retrouver sur la route, comme au bon vieux temps où j’étais organisateur de concerts, avec l’équipe technique avec qui nous alternions sérieux du tournage et ambiance potache d’après boulot.
Fin août la production nous emmène tous passer quelques jours dans une ferme bio à Mortagne, une sorte d’épilogue au documentaire. Au volant d’un minibus je récupère à la gare de Saintes les trois familles qui, alors qu’elles ne se sont jamais vues, ont immédiatement une connivence et une relation fusionnelle, une vraie colonie de vacances, à croire que partager une telle aventure de la transition donne des atomes crochus !
Vous avez raté la diffusion sur France 2 le 24 novembre dernier du documentaire désormais intitulé "on commence quand ?"... Séance de rattrapage icihttps://t.co/Etjva8WjeL
Plus d'infos sur Compostory www.compostory.fr
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